Les collaborations
Tramages développe des projets collaboratifs avec des personnes d’univers différents. Installations, objets graphiques, ateliers, autant de formes que de rencontres.
Karin Crona - Camille Gerschel Hautefeuille - Sara Ketroussi - Juliette Oudot - Maram Rekik - Valentine Vera
Camille Gerschel Hautefeuille
Camille Gerschel Hautefeuille a entamé sa carrière en 2003 en tant que première assistante réalisatrice pour la télévision. Après avoir occupé ce poste pendant une décennie aux Programmes Courts et Créations de Canal +, ainsi que sur des programmes jeunesses et dans la publicité de prestige, elle décide de se consacrer à la réalisation et au montage de documentaires. Titulaire d’un Master International d’Études Cinématographiques obtenu entre Montréal, Amsterdam et Paris, et de deux DU dans le domaine de l’analyse filmique et mythologique, elle intervient régulièrement en tant que réalisatrice, et formatrice en montage, auprès de divers établissements et structures. Désireuse d’être constamment en contact avec différentes générations, elle initie et accompagne la réalisation de projets audiovisuels, que ce soit à Paris ou en banlieue.
Dans ses films, diffusés notamment lors du Festival Croce et Delizie en Sicile ou encore au Cinéma La Clé dans le quartier Latin à Paris, Camille GH tisse les liens étroits qui unissent le politique, la philosophie et l’intime.
Camille Gerschel Hautefeuille a entamé sa carrière en 2003 en tant que première assistante réalisatrice pour la télévision. Après avoir occupé ce poste pendant une décennie aux Programmes Courts et Créations de Canal +, ainsi que sur des programmes jeunesses et dans la publicité de prestige, elle décide de se consacrer à la réalisation et au montage de documentaires. Titulaire d’un Master International d’Études Cinématographiques obtenu entre Montréal, Amsterdam et Paris, et de deux DU dans le domaine de l’analyse filmique et mythologique, elle intervient régulièrement en tant que réalisatrice, et formatrice en montage, auprès de divers établissements et structures. Désireuse d’être constamment en contact avec différentes générations, elle initie et accompagne la réalisation de projets audiovisuels, que ce soit à Paris ou en banlieue.
Dans ses films, diffusés notamment lors du Festival Croce et Delizie en Sicile ou encore au Cinéma La Clé dans le quartier Latin à Paris, Camille GH tisse les liens étroits qui unissent le politique, la philosophie et l’intime.
Karin Crona
Karin Crona est née en 1968 en Suède, elle vit et travaille à Paris. Elle est diplômée d’un Master en arts décoratifs de Konstfack – University College of Art and Design à Stockholm, en Suède. Son travail artistique de nature autobiographique associe différents médiums : collage, dessin, écriture, photographie, gravure, sculpture, vidéo et performance autour de la condition féminine. Elle crée souvent en écriture automatique. Elle a exposé, entre autres, au festival Circulation(s) au 104 à Paris (2018), à l’Institut Suédois à Paris (2018), à la Biennale d’Issy à Issy-les-moulineaux (2017 et 2019), à l’OpenBach à Paris (2021) et chez Susanne Pettersson Gallery/S.P.G. Backstage à Stockholm, Suède (2019). Au Jeune Création 2020 à Fiminco, elle a réalisé une performance, invitée par la Fondation d’Entreprise Ricard. Elle a autopublié trois fanzines : “Kenosis”, “The Girl from No. 13” et “On ne consacre pas sa vie à la réussite d’une abstraction.”
Karin Crona est née en 1968 en Suède, elle vit et travaille à Paris. Elle est diplômée d’un Master en arts décoratifs de Konstfack – University College of Art and Design à Stockholm, en Suède. Son travail artistique de nature autobiographique associe différents médiums : collage, dessin, écriture, photographie, gravure, sculpture, vidéo et performance autour de la condition féminine. Elle crée souvent en écriture automatique. Elle a exposé, entre autres, au festival Circulation(s) au 104 à Paris (2018), à l’Institut Suédois à Paris (2018), à la Biennale d’Issy à Issy-les-moulineaux (2017 et 2019), à l’OpenBach à Paris (2021) et chez Susanne Pettersson Gallery/S.P.G. Backstage à Stockholm, Suède (2019). Au Jeune Création 2020 à Fiminco, elle a réalisé une performance, invitée par la Fondation d’Entreprise Ricard. Elle a autopublié trois fanzines : “Kenosis”, “The Girl from No. 13” et “On ne consacre pas sa vie à la réussite d’une abstraction.”
Juliette Oudot
Actuellement étudiante aux Beaux-Arts de Lyon, la pratique de Juliette Oudot s’inscrit dans le design graphique, plus particulièrement dans le champ de l’édition et de la typographie.
Les notions de traduction, mouvement et écriture (du geste) guident ses réflexions au sein de ses travaux. Elle explore ces thématiques sur différentes strates de représentation entre formes, textes et images et établit des ensembles de règles de jeu pour composer ses visuels.
Valentine Vera
La pratique artistique de Valentine puise son inspiration dans l’univers de la jungle. L’enveloppe corporelle et plus particulièrement la peau animale est au centre de sa pratique. Elle explore la peau, notamment la mue de serpent, à travers ses textures et ses motifs et la transformation par une pratique du costume et du body painting. Depuis 2016, elle effectue plusieurs performances sous un costume d’iguane, en espace public, lieux d’expositions, et bouleverse les conférences. Elles lui permettent de témoigner des relations personne-personnage et homme-animal.
Actuellement étudiante aux Beaux-Arts de Lyon, la pratique de Juliette Oudot s’inscrit dans le design graphique, plus particulièrement dans le champ de l’édition et de la typographie.
Les notions de traduction, mouvement et écriture (du geste) guident ses réflexions au sein de ses travaux. Elle explore ces thématiques sur différentes strates de représentation entre formes, textes et images et établit des ensembles de règles de jeu pour composer ses visuels.
Valentine Vera
La pratique artistique de Valentine puise son inspiration dans l’univers de la jungle. L’enveloppe corporelle et plus particulièrement la peau animale est au centre de sa pratique. Elle explore la peau, notamment la mue de serpent, à travers ses textures et ses motifs et la transformation par une pratique du costume et du body painting. Depuis 2016, elle effectue plusieurs performances sous un costume d’iguane, en espace public, lieux d’expositions, et bouleverse les conférences. Elles lui permettent de témoigner des relations personne-personnage et homme-animal.